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*dhelpër*
1 juin 2006

AN INTELECTUAL VOID 3ème partie : trois heures trente.

-Armelle…. Tu trouve pas qu’ils sont bizzard les gens ?

-Regarde !!!!!! Le sol change de texture !!!!

Armelle avait l’aire de ce foutre éperdument du fait que les gens étaient pour le moins suspect. Ou alors c’était nous qui étions suspectes. Elle semblait perturbé par les fait que nous passion, durant notre terrible périples, d’une surface herbeuse à du goudron.  Notre longue conversation sur : les mouches, le fait de se parler à soi et celui de savoir qui parlait, avait soudainement été interrompu par un événement pour le moins majeur incarné par une immense lumière. Armelle c’était exclamé qu’il faisait jour pendant que je m’éditais sur le fait de savoir si cette lumière était ou n’était pas une intervention divine visant à me délivrer de l’énorme persécution provoquer par le doute existentiel du au fait que je ne me parlais jamais à moi-même.

En réalité ce n’était ni le jour, ni une intervention divine. C’était juste Rémy qui revenait de je ne sais ou avec sa voiture. Plus tard j’appris que ce je ne sais ou était en fait Theys. Lui et Nils avait pris la voiture, défoncés à l’acide, dans le seul but, saugrenu, de récupéré un paquet de cigarette laissé négligemment en friche à plus de trente kilomètre de St-Hilaire, soit sur la montagne d’en face, soit de l’autre coté d’une vallée pullulante de flic au aguets en se soir de fête. Muni de leur bien en cet instant le plus précieux ils étaient revenus nous chercher. Au grand soulagement de Léonie qui, contrairement à ce qu’Armelle et moi nous étions mis en tête, n’avait pas fermé l’œil depuis notre entrée dans la tante et que notre conversation avait surprise mais surtout exaspérée au plus au degré de l’exaspération qu’une personne peut supporter sans avoir des envies de meurtres. Il avait donc était décidé qu’Armelle et moi devions quitter la tente au plus vite. Ce qui d’ailleurs n’allait pas contre notre intérêt parce que franchement, ça caillait là dedans. Après avoir miséré au moins dix minutes pour mettre nos chaussure et rassembler un peu de nos affaire. Nous étions partie. Parce qu’il faut prendre en compte le fait non négligeable que les sons les mouvements, les pensés ne nous parvenaient pas en bloc, comme de coutume pour ce genre de choses, mais de façon discontinu. Or il n’est pas de l’ordre de l’absurde que d’admettre que le fait de mettre ses chaussures semble un exploit quand vous êtres incapable d’évaluer :

-          La taille de la chaussure.

-          La distance qui la sépare encore de votre main ou de votre pied.

-          S’il est normal qu’elle ne pèse rien.

-          Si elle est réellement dans votre main où dans une main étrangère soudée à votre bras pour vous aider à attraper la chaussure. Ce qui expliquerai que vous ne perceviez pas son poing.

-          Si ce truc rouge qui vous est tombé dessus et une luciole rouge ou une cigarette incandescente.

-          Si c’est à vous qu’on s‘adresse quand on dit : « Cash. Il. Y. A. Un. Truc. Qui. Brule. Sur. Ta .Chaussette » (Le mot chaussette est long quand même par rapport au autres.)

-          Si ces mots une fois rassemblé signifient bien « Cash y a un truc brule sur ta chaussette. » Parce que si c’est le cas tout sera alors très compliqué.

a_homage_reflet_superficiel_01

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Commentaires
E
ouiii!
D
Si tu veux je vais rester sur les photos de filles alors.
E
moi j aime bien les photos. j aime bien ce genre de photo. de ventres. de filles.
*dhelpër*
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